Assez tôt au début du confinement, je me suis interrogé sur la manière dont les commerçants communiquaient au sujet de la fermeture forcée de leurs établissements : blamaient-ils le gouvernement ? Essayaient-ils de faire contre mauvaise fortune bon coeur ? Quels liens tentaient ils de garder avec leur clientèle…qui paradoxalement ne pouvait sans doute pas lire leurs messages, tout confinés qu’ils étaient…
J’ai constitué à me constituer une base photographique, et puis… A surgi le projet « Vitrines en confinement » menée par une chercheuse au CNRS et une enseignante-chercheuse de l’Université Nanterre.
J’ai donc pris le parti de leur partager le fruit de ma collecte, qui sera archivée avec toutes les autres contributions à l’Inathèque de l’INA…mais d’en archiver également quelques-unes ici, sans commentaires, sans analyses, juste avec ces quelques interrogations liminaires.
PS : vos contributions (à cet article comme au projet Vitrines en confinement) sont les bienvenues !































